الجمعة، 23 أكتوبر 2009

Prospérité et post-émergence


Jawhar CHATTY, journaliste

Dans une continuité qui a le mérite de tirer formidablement vers le haut la mutation qualitative de la société tunisienne et de l'économie nationale, le programme présidentiel porte en son sein une vision claire, d'une rare cohérence et pertinence des priorités futures; celles-là même qui sont propres à imprégner une nouvelle cadence d'une ampleur peu commune à la dynamique de développement du pays. Une vision qui, dans la continuité, consacre de nouveau et de la belle manière qui soit le principe de l'indissociabilité entre les dimensions sociales, économiques et environnementales du développement. Une vision qui place de nouveau l'homme au coeur de la dynamique de développement, son vecteur de prédilection et sa seule finalité. La croissance ne valant , encore une fois, que par ce qu'elle génère comme plus value sociale et que si elle rayonne sur l'ensemble des composantes de la société .

L'emploi, étant foncièrement le vecteur le plus juste de la répartition pérenne des fruits de la croissance et le principal garant de la dignité, continuera ainsi non seulement de bénéficier de la priorité absolue dans les préoccupations du Président Ben Ali mais il est de surcroît considéré comme étant le défi le plus urgent de l'étape à venir.

Les mots ont à cet égard un sens et du sens: au cours du prochain quinquennat, la devise du programme présidentiel est la suivante: aucune famille tunisienne sans travail ou sans source de revenu pour, au moins, l'un de ses membres, au terme de l'année 2014.Les mots ont un sens et du sens; ils sont l'expression d'un volontarisme et d'une détermination sans faille que seuls l'humanisme, la perspicacité,l'efficacité et la diligence d'un homme, le Président Ben Ali, peuvent une nouvelle fois matérialiser. Ce volontarisme se trouve servi par une vision des priorités futures qui, foncièrement et sans conteste détermineront et cristalliseront les principaux ressorts de la croissance de demain. C'est-à-dire, celle-là même qui présidera au développement des nations et à leur progrès. Une croissance qui puise ses nouvelles sources auprès de nouveaux domaines décisifs dans la compétition entre les pays et les nations: économie de l'environnement, les sciences et les technologies nouvelles, les nouveaux processus de travail et de production ainsi que d'autres secteurs vitaux pour les générations futures, comme les énergies nouvelles et renouvelables, les politiques de l'eau, et la maîtrise des techniques de déssellement... "Dans ces objectifs qualitatifs, résident les défis futurs, c'est pour les relever que nous allons travailler et c'est grâce aux capacités de notre peuple, à notre persévérance, à notre détermination et à notre opiniâtreté que nous gagnerons le pari", souligne le Président Ben Ali.

Les mots ont un sens et du sens: se rapprocher de la couverture sociale universelle en portant son taux à 98% en 2014 parallèlement à l'augmentation de 40% du revenu moyen par habitant, de telle sorte qu'il atteigne 7000 dinars en 2014 sont des objectifs ambitieux, nullement hors de portée de la Tunisie du Président Ben ALI. Au nom d'un surcroît de bien être et de prospérité pour notre peuple et au nom de l'accession de la Tunisie au rang des pays développés.

الخميس، 22 أكتوبر 2009

لماذا أنتخب بن علي؟

نعيمة القادري

الارتقاء إلى مصاف الدول المتقدمة هو الهدف السامي والتحدي الأكبر الذي إنبنت من أجله كل البرامج والمخططات التنموية التي عرفتها البلاد منذ ذلك المنعرج التاريخي الذي أقرّ لتونس وجهة أخرى هي وجهة التغيير من أجل اللحاق بالدول المتقدمة... وجهة ثانية لا تؤمن بالمستحيل أرادها السابع من نوفمبر تحوّلا جذريا يرتكز إلى ثوابت صلبة ومنيعة تستمد قوتها من المراهنة على الإنسان والاعتماد على الذات والقدرة على المبادة والثقة بالإمكانات المتاحة لدى الفرد والبلاد حيثما كان من التراب الوطني مهما كان انتماؤه الاجتماعي والفكري.

هذه الثوابت تجذّرت وتتالت في كل البرامج الانتخابية للرئيس بن علي فكانت متكاملة ومتممة لبعضها من خماسية إلى أخرى محققة في طريقها تنمية شاملة لم تستثن شبرا واحدا من التراب الوطني بفضل السياسة الحكيمة لرئيس الدولة والخطى المتأنية للمرور من نجاحات إلى نجاحات أكبر، السنة تلو الأخرى بنسق حذر ويقظ ومستشرف لكل المتغيرات التي قد تطرأ على الساحتين الدولية والوطنية.

لكل هذه الأسباب انتخب الرئيس بن علي الذي جعل تونس محط اهتمام الأمم المتقدمة ومحل شهادات من المنظمات الدولية وجعل من الخيارات الوطنية تجارب تحتذى.

أنتخب بن علي لأنه أولى قضية التشغيل الأولوية المطلقة فتجلت في حوالي ستين بالمائة من برنامجه الانتخابي باعتباره المحور المحرك لتحقيق التوازن والاستقرار الاجتماعي والتنمية الاقتصادية الشاملة حتى يحق للشباب الطموح والحلم والاستقرار والمبادرة لدفع حركة البناء والتشييد.

أنتخب بن علي لأنه جعل من شباب تونس جيلا قادرا على التحدث بلغة العالم والتحكم في تقنيات المستقبل لا فرق بينه وبين نظيره في البلدان المتقدمة إلا بالعلم والمعرفة والثقة بالذات وبوطنه والمبادرة والذود على حب النجاح.

أنتخب بن علي لأنّه أولى المرأة المكانة التي تحفظ كرامتها وتجعلها شريكا فاعلا وناجعا وقادرا بكفاءة عالية على تقديم القيمة المضافة لرفع التحديات الاقتصادية والاجتماعية وجعل مكاسبها منوالا تطمح الشعوب للنسج على منواله.

أنتخب بن علي لأنه جعل من أطفال تونس حلقة أولى في معركة البناء والتشييد لتونس الغد تبدأ بإتقان العلوم واللغات والمهن والمساهمة في قضايا الشأن العام من خلال الحوارات والاستشارات وإحداث برلمان الطفل وحفظ حقوقه وحقوق الأسرة بكل مكوناتها وجعل من الإنسان العروة الوثقى للمرور إلى المستقبل والانصهار في حلبة الأمم المتقدمة، انصهار الند للند وهو أكبر تحد.

الأربعاء، 21 أكتوبر 2009

Le meilleur choix des Tunisiens

Karima Chalouati, journaliste

Il est vrai qu’il y a de multiples raisons qui font du Président Zine El Abidine Ben Ali, le meilleur choix des Tunisiens.J’ai pris connaissance des divers blogs des journalistes, et même si le choix que j’ai fait de voter Ben Ali s’appuie sur une conviction personnelle bien ancrée, j’y ai puisé de nouvelles raisons qui me poussent à croire que mon choix n’était pas seulement bon , mais vraiment le meilleur.
Evidemment, les journalistes ont cet art de bien exprimer ce qu’ils ressentent. Ils sont branchés directement sur la réalité, ce qui fait d’eux des témoins privilégiés de ce qui se passe dans le pays.
Aussi , quand ils écrivent que Ben Ali a répondu depuis 1987 à l’appel de devoir sauvant le pays du « dramatique processus de déliquescence de l’Etat qui allait marquer l’histoire de la Tunisie indépendante », ou encore quand ils affirment que sous la bonne gouvernance de Ben Ali, la Tunisie a réussi a préserver « une dynamique de pérennisation quali-quantative des acquis », ils ne font que confirmer que le choix de Ben Ali est le plus approprié pour relever les défis de la prochaine étape, et hisser la Tunisie du rang des pays émergeants à celui des nations avancées.

«من أجل التونسيين والتونسيات كافة»

الحبيب العجيمي

ما معنى أن يكون رئيس قريب من شعبه، متجاوب معه ومصغ إليه يعمل من أجل تعزيز هذا القرب ويسعى إلى الاستجابة للطموحات المشروعة الذي يعرب عنها كافة أبناء الشعب؟

رغم بساطته فان مثل هذا السؤال في غاية من الأهمية باعتبار أن الإجابة عنه تقودنا حتما إلى الحديث عن التفاعل الايجابي القائم بين الرئيس زين العابدين بن علي وأبنائه وبناته في كل ربوع تونس بدون إقصاء أو تهميش.

ولان الرئيس بن علي هو رئيس جميع التونسيين فإن التونسيون اختاروه جميعا قائدا فذا لهم ولمسيرة الإصلاح والتحديث التي انطلقت يوم 7 نوفمبر 1987 وهو ما يجعل من الاستحقاق الانتخابي في 25 أكتوبر مناسبة متجددة للتعبير عن الوفاء والعرفان والمساندة المطلقة.

وان المتأمل في البرنامج الانتخابي الرئاسي بنقاطه الأربع والعشرين ليسجل بكل الارتياح أن الرئيس خاطب جميع التونسيين بدون استثناء ذلك أن هذا البرنامج كان جامعا، شاملا ومتطرقا لكل المواضيع والمسائل التي تخالج التونسي أينما كان حاضرا ومستقبلا.

ان الأهداف طموحة للغاية والانتظارات، بالرغم من أهميتها، فهي مشروعة. وما من شك فإن تحقيق هذه الطموحات والانتظارات يستوجب قدرا كبيرا من التلاحم والتفاعل، من المحبة والوفاء، من العمل والبذل وهي كلها شروط متوفرة في العهد الجديد وساهم في مزيد ترسيخها الرئيس زين العابدين بن علي وهو ما يفسر اختياره لـ «معا لرفع التحديات» شعارا للبرنامج الانتخابي الرئاسي للخماسية 2009 – 2014.

واستحضر هنا جملة اختتم بها رئيس الدولة خطابه في افتتاح الحملة الانتخابية حيث قال «من أجل التونسيين والتونسيات كافة، وضعنا هذا البرنامج، وبهم جميعا نثق بالنجاح ونتفاءل بالمستقبل».

الثلاثاء، 20 أكتوبر 2009

Mes sept raisons pour voter Ben Ali




Mongi GHARBI, journaliste


I- L’Homme des rendez-vous avec l’Histoire



Les historiens le confirmeront sans doute mieux que quiconque : l’Ere du Changement coïncide avec un pan majeur de l’Histoire multimillénaire de notre pays. Initié par un dirigeant exceptionnel, le Président Zine El Abidine Ben Ali qui s’est résolu à répondre à l’appel du devoir le 7 novembre 1987, pour venir au chevet d’un pays en proie à la déliquescence des institutions, aux luttes de pouvoir, à l’instabilité civile et à la banqueroute économique, le renouveau républicain n’a ni plus ni moins été salutaire, arrachant définitivement la Tunisie à la léthargie, au marasme et au péril de l’effritement. Pétrie dans les vertus cardinales du déni de soi, du labeur, de la constance, de l’assurance et de l’ambition, l’œuvre grandiose du Changement réglée à l’horloge tunisienne s’est déclinée de façon progressive et sans à-coups. Sans jamais cependant déroger aux principes d’ouverture, de tolérance et de modération qui caractérisent tant la personnalité nationale.

II- L’Homme de la continuité socio-historique réformatrice


S’inscrivant d’emblée dans la durée, le projet civilisationnel du Changement est en effet foncièrement inspiré, en amont, par la pensée éclairée des figures réformistes dont l’histoire multimillénaire de la Tunisie regorge, des pionniers et des leaders du Mouvement national, honorant un engagement patriotique sacré au souvenir du sang versé par les martyrs. Tout autant qu’il est mû, en aval, par la quête d’un avenir meilleur pour toutes les générations, régions et catégories. Une ligne de conduite dans le droit fil de la tradition socio-historique de notre pays en somme, prompte à tirer en permanence les enseignements du passé, à appréhender avec lucidité les temps présents pour mieux préparer l’avenir. Une continuité dont la trace sémiologique est visible jusque dans le corpus des discours présidentiels, construits invariablement en trois temps: le bilan du passé accompli, en prologue, auquel succède l’état des lieux ici et maintenant et les chantiers d’avenir en guise d’épilogue.

III- L’Homme de la gouvernance


Toutefois et par delà le concept temporel en soi, c’est bel et bien d’un style de gouvernance dont le Chef de l’Etat ne s’est à aucun moment départi depuis qu’il veille aux destinées de la Tunisie. Un style qui consiste à adopter systématiquement la démarche graduelle, cumulative et constructiviste pour l’émergence d’un ordre nouveau, fût-t-il secondaire et de s’en servir comme levier pour l’étape suivante, suscitant de la sorte une dynamique, d’une rare efficience d’accumulation et de pérennisation quali-quantitative des acquis.
Cette clarté de la démarche, plus proche du bon sens et de l’empirisme constructif que de l’esthétisme idéologique suranné, la sincérité qu’elle recèle par définition, ainsi que
le ton pédagogique et mobilisateur de son énonciation expliquent à eux seuls l’adhésion du peuple tunisien au processus du Changement et son attachement loyal à la personne du Président Ben Ali.
« J’écoute, je réfléchis, et j’agis» : c’est en ces termes que le Président Ben Ali avait, du reste, résumé lui même l’essence de sa démarche et sa propre méthode de gouvernance. Autant dire que le Chef de l’Etat prend soin de diagnostiquer la réalité avant toute prise de décision ou d’engager la moindre action.

IV- L’Homme rassembleur


D’où d’ailleurs l’importance dévolue à la consultation et à la participation de tous les acteurs
concernés qu’il initie systématiquement afin de glaner le feed-back nécessaire lors des phases de conception, d’élaboration , de réalisation , d’évaluation et de suivi des divers projets. L’organisation de larges consultations nationales sur des sujets aussi stratégiques que l’emploi, la formation professionnelle, la jeunesse ou l’administration témoigne d’une volonté politique clairement affichée de faire prévaloir la fécondité du débat sur les injonctions administratives ou technocratiques. Mobilisant et ralliant de la sorte toutes les composants de la société civile et les forces vives de la nation autour de l’idéal républicain et du projet sociétal qui lui sert de référentiel. Dans un climat de dialogue, de sérénité, de concorde et de consensus qui, à aucun moment n’ont été déclinés aux dépens du respect du droit à la différence.

V- Le Président arbitre


Ayant assumé avec plénitude et compétence, en vertu même de ses prérogatives cons- titutionnelles, sa mission d’arbitrage suprême entre les rouages de l’Etat, les mécanismes
du marché et l’influence de la société civile, le Président de la République a mis sur les
rails une dynamique de mobilisation consensuelle autour des principaux dossiers de la
nation, nonobstant les différences d’opinion des uns et des autres.
C’est que dans la pensée du Président Ben Ali et dans la manière dont il semble appréhender le Pacte républicain régissant son leadership, seuls l’intérêt supérieur de la
patrie et l’obligation de résultats concrets au profit des citoyens comptent en définitive
dans les divers processus de gouvernance engagés à tous les niveaux de prise de décision.

VI-Le Président citoyen


Favorisant le contact avec les citoyens ordinaires à l’occasion d’une visite sur le terrain, d’un repas d’Iftar, ou d’une quelconque rencontre, le Chef de l’Etat est constamment à
l’écoute, s’enquérant des moindres détails pour s’assurer de visu et de vive voix de la réalité ambiante et rassurer les citoyens et les citoyennes , de quelque horizon qu’ils soient. Cette sollicitude bienveillante et ce sens de la veille humaniste permanente se sont du reste confirmés à l’occasion des intempéries qui ont frappé, au début du présent automne certaines régions intérieures de la Tunisie. Une gouvernance de proxémie en somme qui s’adosse immanquablement sur des décisions et des réalisations visant la ré médiation sociale en faveur des personnes ou des régions concernées.


VII- Une voix écoutée dans le monde


Dans le contexte d’un système de gouvernance ouvert sur le monde, le Président Ben
Ali a initié des propositions d’envergure internationale, visant à lutter contre la pauvreté, la marginalisation, l’exclusion et le terrorisme, se faisant le porte-étendard des personnes , des groupes et des pays les plus fragiles et les plus vulnérables .
Face aux mutations accélérées du monde qui rendent les réalités évanescentes et fluides, suscitant violence, replis identitaires et égoïsmes économiques, il a, sans discontinuer, prôné le dialogue et l’ouverture sur l’altérité, dans l’intérêt bien compris de tous.
Qu'il s'agisse des nouveaux modes de production, de formation ou de travail émergent,
de rapports internationaux plus solidaires, de lutte contre la pauvreté, d'éradication du
terrorisme ou de dialogue des cultures et des religions, le Président Ben Ali a eu en effet de formidables intuitions prémonitoires, inspirées par une analyse clairvoyante et prospective des faits.
Ses propositions de faire de l’année 2010, l’année internationale de la jeunesse, ou celles relatives à la création et au financement d’un Fonds mondial de solidarité (FMS), son appel en faveur de la mise en place d’un Code mondial de lutte contre le terrorisme, ainsi que ses mises en garde répétées contre les menaces de fracture numérique, à l’ère du tout binaire, témoignent de la vision prospective et prévoyante du Chef de l’Etat. Ces différentes initiatives visent essentiellement à améliorer le vivre-ensemble mondial et de créer les fondements d’une mondialisation à visage humain. Bref, à créer les conditions, les meilleures pour l’instauration de la paix, de la stabilité, de la sécurité et du co-développement solidaire entre les peuples, les cultures et les nations du monde.


Le cap de l’éspérence
Forte de ses performances, de son rayonnement, de sa présence internationale et de la sage gouvernance de son Président, notre pays s’apprête donc à aborder une étape cruciale de son histoire, comme l’a proclamé le Président Ben Ali dans son discours historique, à l’ouverture de la campagne électorale, le 11 octobre 2009. Avec un programme novateur, ambitieux pour relever haut la main toutes sortes de défis, en guise de feuille de route pour le prochain quinquennat.
Nul candidat par conséquent, hormis le Président Ben Ali n’est plus légitimement qualifié à poursuivre cet élan d’accumulation historique que notre pays traverse depuis 22 ans.
Avec lui aux commandes, la Tunisie est en mesure de poursuivre sa marche glorieuse de rejoindre le peloton des pays développés, et d’évoluer, sûrement et droit vers le cap de la bonne espérance.